A la pointe
de ses seins,
les ombres devinent
une nature câline.
De ce corps
que je prends
à l’encre
de ma mine.
mes mains
dérivent
jusqu’à l’abîme.
Où je me perds
doucement
jusqu’à l’ultime
dans le sublime.
Anonyme.
A la pointe
de ses seins,
les ombres devinent
une nature câline.
De ce corps
que je prends
à l’encre
de ma mine.
mes mains
dérivent
jusqu’à l’abîme.
Où je me perds
doucement
jusqu’à l’ultime
dans le sublime.
Anonyme.
Voici un poème et ces illustrations que j’ai reçu il y a peu et que je vous présente aujourd’hui.
N.B : c’est signé « anonyme » et j’ajoute que je ne connais pas l’auteur de ce superbe texte.
C’est bel de désir d’être
Par la plume de l’aimé
Honneur à l’anonyme, qui méritait d’être dévoilé.
Bel dimanche, Haddon. Bises.
Je suis ravie de retrouver ces quelques lignes en commentaire sur mon blog ! Cet anonyme a bien du talent. Merci à vous, merci à lui